Rien lu de la semaine ou presque (à part un peu Kertész), me replonge doucement : j’allume la liseuse dans la huit et laisse y défiler la bibliothèque et la regarde tout autant qu’elle me regarde et la lis tout autant qu’elle me lie et lis pas pour autant : j’attends le chef d’œuvre.

Mise en ligne, sur le blog de Theovall, du compte-rendu de notre discussion de mardi. « Là, presque pas là », dit-il et comment pourrais-je ne pas m’y reconnaître ? J’ai quelques mots clés spip ouverts dans l’administration sèche de Fuir pour rendre compte précisément de ce genre d’état (genre quasi permanent). Me touche beaucoup ce genre de rencontre, vraiment, et idem le très beau texte de Jean-Marc Undriener (dont je n’oublie pas que je lui dois un texte, lui qui m’a invité dans la partie revue de son site, en fait c’est presque écrit, il faut que je le monte) posté en commentaire. Encore une fois, semaine enrichissante à tant d’égards.

Après relecture, hier, des Bientôt les prud’hommes, même chose, ce soir, avec les Comment mâcher sa propre cravate, qui sont l’autre versant d’un même machin. Sais pas où ça m’emmène mais ça m’engage à rien.

Retour progressif de la faim. Possibilité de remplacer le Nutella, à terme, par les truffes géantes, que je cueille au pied de l’immeuble. Écueil : quatre euros pièce.