Commencé la phase relectures-corrections. Maîtrise pas. Plutôt pénible pour moi. Jusque là, me contentais de situer quelques passages que je supportais pas et de les remplacer par des passages tolérés. Décidé d’essayer autre chose pour « Coup de tête ». Tout tiré sur papier dès la première version, corriger à la main [1]. Me suis dit que le truc, c’était de ne rien laisser qui dérange. Tout remettre en question. Histoire d’exigence. De justesse. À long terme, suis conscient que c’est une démarche impossible, invivable, que d’essayer d’atteindre la satisfaction pleine, le 100%. Je suis pas naïf. Mais veux m’en rapprocher de ce 100%, le plus possible m’en rapprocher.
Dans le repérage des anomalies, en suis environ à la moitié. Certaines pages sont intégralement barrées, d’autres laissées telles qu’elles, d’autres complètement recouvertes. Ce matin, le feutre noir qui me sert pour les passages très mauvais m’a lâché. Quasiment neuf pourtant. La deuxième partie (sur cinq), est presque intégralement à revoir, à réécrire, voire même à repenser. Frustrant. Insupportable, aussi. Mais faut.
(Source)
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#010 #10 : 12 août 2006 Coup de tête Commencé la phase relectures-corrections. Maîtrise pas. Plutôt pénible Pénible pour moi. Jusque là, me contentais de situer des quelques passages que je ne supportais pas et de les remplacer par des passages tolérés. Décidé d’essayer autre chose pour « Coup de tête ». Tout tiré sur papier dès la première version, corriger à la main [1]. main . Me Je me suis dit que le truc, c’était de ne rien laisser qui dérange heurte . Tout remettre en question. Histoire d’exigence. De Histoire de justesse. À long terme, suis conscient que c’est une démarche impossible, invivable, que d’essayer d’atteindre la satisfaction pleine, le 100%. Je ne suis pas naïf. Mais veux m’en rapprocher de ce 100%, m’en rapprocher le plus possible m’en rapprocher .
[1] Toutes ces impressions , corrections manuscrites et versions successives matérielles , précieusement conservées tout d’abord , ont été détruites en août ou en septembre 12 , durant déménagement , sans aucun état d’âme .
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Depuis quelques jours, j’ai commencé la phase « relecture & corrections » le roman qui m’intéresse en ce moment, c’est-à-dire, et si vous avez un minimum suivi mes derniers billets du journal de bord vous le saurez, c’est-à-dire « Coup de tête », commencé en mars/avril, terminé début juillet, enfin, quand je dis terminé, je veux dire que la première version a été terminée, mais qu’il n’est pas encore achevé, je sais que c’est une phrase longue, soit dit en passant, mais suivons un peu le cours de mes pensées, pourquoi pas ?
Des relectures, donc. Commencé la phase relectures-corrections Et des corrections . Maîtrise pas Tant pis . Pénible pour moi C’est pénible . C’est une phase que je ne maîtrise pas, évidemment, parce que je m’imagine bien que c’est difficile de maîtriser ce genre de phase, surtout quand on est jeune, comme moi car, oui, c’est vrai, je suis jeune. Cette phase a toujours été, comment pourrais-je dire, pénible pour moi. Ou alors déprimante, puisque c’est dans cette phase-là qu’on se rend compte qu’en fait, tout ce qu’on a écrit n’est pas bien, non, bien au contraire. Jusque là, donc , pour mes écrits précédents , je me contentais de quelques relectures , de quelques corrections , de situer des les quelques passages que je ne supportais pas et de les remplacer par des passages tolérés que je tolérais . Au final, ça donne une version finie moyenne, inégale et irrégulière (voire incohérente), c’est-à-dire que ça donne mon seul (à ce jour) roman terminé, j’ai nommé « Point d’interrogations » (j’en ai déjà parlé dans le Journal de bord, également).
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