Il est question des déambulations tropicales de l’homme, DSK. Il y a des jeux de mot plus ou moins malvenus, il est question d’un viol, un viol différent, antérieur à celui, célèbre, qui a défrayé la chronique, mais c’est plus tumultueux que ce que l’on croit et DSK, bonhomme, se pose devant un micro télévisuel et présente son dernier livre, une novélisation de Duke Nukem. Il incarne lui-même, à l’écran, le rôle de son héros : cigare, lunettes noires, un porc. Tchaïkovski me réveille.

J’explore ce qu’il reste des rues pour bouffer. Remonte jusqu’au boulevard Haussmann : take away italien, la formule panini à 9,90€. D’accord le panini est bon mais il est deux fois plus petit qu’ailleurs et le reste c’est de l’eau en bouteille et un muffin industriel et il pleut aux Tuileries où je n’ai pas mis les pieds depuis bien des années. En sortant du boulot sur les coups de l’heure H je me dis ce serait bien, aussi, de rentrer à vélo. Google dit ça fait vingt-cinq minutes en passant par la rue de Rivoli puis l’avenue Dausmenil (et c’est presque tout droit).