Vote à l’envers, par défaut, à effeuiller les trucs dans le nul avant d’arriver au moins d’entre tous. Modifié l’articulation du journal dans Spip, c’est-à-dire l’affichage. Une vue par strates, des plages de 100 jours, chaque bande horizontale issue de la photo du jour (s’il n’y a pas de photo c’est du blanc). C’est assez représentatif des équilibres intérieurs quand c’est blanc, je crois assez à ça. Je dis pas que c’est plus pratique à l’usage quand on navigue dedans (la date et les mots clés qui servent de balises sont accessibles au vol de la souris) mais c’est plus cohérent graphiquement avec ce que c’est pour moi un journal. Idéalement, ce serait pas des plages de cent jours mais d’un an ; ce serait pousser fort, sans doute trop, sur le Spip, on n’a pas besoin de ça.

Non, ok, voilà ce qu’il faut faire. Un, oublier graisser la chaîne, c’est la graisse qui coince, c’est que la chaîne elle-même est bloquée contre le cadre au plus petit cercle denté qui soit (mais ça n’explique pas pourquoi le cable du petit plateau se déporte systématiquement — c’est-à-dire qu’il se tend — vers le plus dur développement possible). Deux, entreprendre pragmatiquement Mueller en lisant à voix haute et en insérant simplement des repères qui diraient écrire ici note numéro X à propos d’X truc et ne commencer (reprendre) la rédaction des notes qu’une fois le texte balisé dans sa totalité. Ici la note 25 ¹ :

Trois, coller dans Imovie les rushs de la lecture d’Audrey Gaillard à la librairie les Temps Modernes d’Orléans du 6 novembre dernier, y aposer les rushs sons nettoyés au préalable et couper les pointes si besoin. Se défaire de l’idée de le monter plus audacieusement : chronophage et t’as pas les mains pour. La prochaine fois, tu prendras garde à A, avoir un pied, B, désactiver ce truc automatique de mise au point intelligente de merde qui fait flouter l’écran.