Notes Coup de tête embarquées au quotidien, suite et fin.

16/10/08

CdT > ne faudrait-il pas inverser les titres des parties II et III ?

27/11/08

CdT (II) > pour le problème de bus vers V. flouter la chose, formulation type « d’un train à un autre plus petit à un autre plus petit, etc. » Matriochkas ferroviaires.
+ / !\ I, J1, passage Ajay qui s’insère entre les phrases, ce qui ne se reproduit plus après. A rectifier. S’en servir quand le rythme s’accélère et que deux évènements se superposent (tête et jambes, grosso modo).
+ / !\ sur tout le texte : ne pas se servir de la faim comme d’une anecdote qui apparaît pour meubler mais bien comme baromètre de sa condition mentale. Fluctue.

28/11/08

CdT > Attention à l’uniformisation des temps dans les adresses à Ajay. Alternent présent et imparfait (grosso modo selon l’humeur du moment).

14/12/08

CdT > problème vis à vis des plannings de Nil. À corriger directement lors de la première rencontre via adresse à Ajay. + rajouter des incises en milieu de phrases comme au début.

19/12/08

CdT > Coup d’oeil au plafond du grand hall : l’impression de devenir épileptique à fixer les néons longs et le grillage serré.

08/02/09

CdT > se servir du mot « désafférentation » (même si CD le maîtrise mal)

01/03/09

CdT > supprimer les pronoms dans les phrases type je pense – (je) supporte, (je) subis –

05/03/09

CdT > fin I : Nil l’immobilise, il arête de se débattre quand il comprend qu’il fait ça pour n’être plus face à face (les yeux, reflets, regards). Il lui pose des questions simples auxquelles il doit répondre. Au bout : trouver un substitut au mot truc. Ellipse. Scène de la lune, larmes avortées. + fragmenter & insérer des adresses à Ajay. Pas plus de deux à quatre répliques.

14/03/09

début IV : « Tout ce qui suit a pu arriver, aurait pu arriver, aurait mieux fait. L’un ou l’autre ou tout à la fois. / Tout est arrivé. Question de point de vue, de lignes de fuite, compression des regards. Question de perspective. »
+ faire de la IV une succession de fins alternatives.

08/04/09 : s’inspirer de Tentatives de pourquoi j’ai toujours si mal à la tête vis à vis de la langue de Nil + voir s’il est utile de prononcer « l’envers du décor »

14/04/09

Phrase de fin possible : « (Et) Franchement Ajay j’ai l’impression de te connaître, je lui dis. Mais de là à te dire comment j’ai fait pour arriver jusqu’ici devant toi, je peux pas, c’est au dessus de mes forces. Vraiment. »

20/04/09

La fin de Coup de tête : elle doit cibler la mort répétée du narrateur, la destruction du corps, avant souffle cru pris par l’absurde et le fantasmé. Se servir de l’expérience « peurs primaires ». Y aller, y aller vraiment. Offrir tout ce qui en moi ne peut pas se retenir, comme si ce livre pouvait être le seul.

27/04/09

CdT IV > récupère canif ou scalpel & briquet (Nil ?) et s’entaille le moignon, automutilations d’abord, puis boucherie progressive pour y greffer la main noire. Ne pas savoir à quel degré d’hallucination on se trouve.

01/05/09

Coup de tête III > partie 505, aperçoit le type en ligne de mire, baisse les yeux pour le laisser disparaître mais ne disparaît pas, sauf au sommet avant réapparition.

20/05/09

P.27 > faire en sorte que l’eau zigzague dans ses intestins et qu’il le sente.

24/05/09

CdT, III (début) : commencer le 10e jour matin > mange sa dernière madeleine entre gorgées d’eau avec récit à Ajay de l’arrivée à V. Il laisse filer le type de lui-même : se retourne vers lui et le voit + la tension d’une filature accumulée à la trouille : son corps ne bouge plus.

23/06/09

CdT III : passage 505 (ou après) : « je te vois, toi aussi mais (juste) : regarde-moi »

02/10/09

CdT III > scène où le type parle de son père ? Un jeune type F. recruté, deux ans de plus, comme meilleure version de moi qu’il pourrait avoir à la place ou qu’il pourrait baiser.

05/11/09

CdT, fin possible : « J’irai ailleurs » (dialogue) Plus tôt, rencontre Ajay : « Ajay, c’est ça ton nom ? Je prononce bien ? » et « Première fois de ma vie que je rentre dans un casino. Je peux lancer les dés avec cette main ? »

10/11/09

CdT (fin) : faire une partie « zéro », à part, fragmentaire, où s’enchevêtreraient des instants possibles ou non, courts, peut-être noyés dans le blanc de la page ? À voir ?

06/02/10

CdT IV > multiplier les boucles temporelles : le narrateur retrouve des passages fragmentés de la partie I qu’il dépasse ou bouscule. Ensuite les boucles se nécrosent : temps d’en finir. + boucle avec le début de la partie IV qui débouche cette fois sur un double suicide

15/03/10

« Cours pas : marche juste et marche encore » (fin ?)
Partie IV : dort et vit et mange sur les marches d’un escalier très fréquenté : se fait piétiner.
Rebaptiser le type aux cheveux bleus X ou l’X ? (yx)
Un chapitre sans chiffre (ensuite accumuler les points) : « Voilà, ça y est, j’’en ai fini / j’arrête de compter les jours »
Ne pas amputer la mécanique du corps (faim) mais la rendre systématique, automatisée. La résoudre , bouton sur lequel on appuie, on l’a compris par habitude.

11/04/10

CdT > pour la cohérence de l’ensemble, ajouter un passage après la scène du tram qui dit clairement le dégoût actuel ?
+ y ajouter plus haut extrait de Nil qui explique peut-être que vers l’envers = la fin de cette misère là (par exemple : lettre d’insulte à Nil postée dans bouche d’égout ?)

28/04/10

CdT > remplacer la lumière blanche du lampadaire (cliché cliché) par un objet plus trivial (poubelle ? Extincteur ?) & une languette Flamby ?

06/05/10

CdT II > moment du rêve de l’X. Préciser via adresse à Ajay une ligne type « il me touchait et je claquais, Ajay. Après il devenait moi. Je te fais pas un dessin pour te laisser comprendre/voir ce que ça peut impliquer/porter »