Toujours après une période au cours de laquelle je coupe, pour une raison X ou Y, consciente ou pas d’ailleurs, les réseaux sociaux, je rechigne à y revenir. Serai tenté de m’en passer, quitte à risquer l’invisibilité. C’est grave, l’invisibilité ? Non. Quelque fois même c’est même souhaitable. Et le journal comme Ulysse peuvent au fond vivre sans. D’autant plus pénible de remettre les pieds sur Twitter que Twitter est saturé de par la (sic) ligue du lol. Le reste du temps, ce sont des posts de promotions (auto ou non). Et moi, là-bas, ça fait des siècles que je ne fais plus que ça. Pas beaucoup de sens alors. Mes yeux reviendraient presque. Toujours un peu de flou (mais peu). Peux désormais utiliser mon cadeau d’anniversaire, une nouvelle liseuse pour remplacer l’hémiplégique qui commence à plonger. C’est un truc haut de gamme qui fait très bien le job, rapide, vif, et dont la forme peu académique et l’amplitude de l’écran permet de lire assez confortablement, en paysage (comme pour la vieille proto-Kindle), des PDF.