Je me souviens d’Ivan de la Peña et de Tony Cascarino. Je me souviens même de Jean-Philippe Primard. — FMR doit trouver son point d’équilibre : pas assez de participations par jour, et la revue se dégonfle. À l’inverse, trop et elle éclate : il y a trop de choses à lire en trop peu de temps. IFTT lui-même, qui gère l’envoi automatique des tweets via le flux RSS correspondant, ne va pas au-delà de 25 publications par jour dans sa version gratuite. Il y a une leçon à tirer de tout ça : le bon degré d’écoute, comprendre donc d’audience, est proportionnel au gabarit de la structure émettrice. — Je reçois aujourd’hui le vieil exemplaire (1995) de la revue originelle dont j’ai plagié le titre sans le savoir : elle est magnifique.