Contrairement aux autres jours de la semaine, le vendredi m’appartient en propre. Aujourd’hui j’avance sur Jachère et Féroce, demain de futurs projets bakélités et mes propres travaux d’écriture, mais qu’il ne faut pas que je repousse en permanence à ces trois jours, vendredi samedi dimanche, j’ai besoin d’être quotidiennement dans un flux, sinon je ne m’en sors pas, et c’est trop dur de réamorcer la pompe. Pour l’heure, ça coince. Mais il faudra que ça vienne. Acédox me rappelle. On va me proposer quelques missions premières, à effectuer en binôme avec quelqu’un et ensuite nous verrons. L’AFNIL m’envoie ma liste d’ISBN pour Bakélite. Les choses progressivement se mettent en place. Jacques Spitz ¹ : À quoi bon découvrir de nouvelles Amériques, de nouvelles planètes ? Aller à Courbevoie ou dans Sirius, c’est exactement la même chose. Les voyages dans le temps idem, car le temps, nous voyageons avec lui, à la vitesse de vingt-quatre heures par jour. C’est bien suffisant pour aller vers la mort. Ce livre, j’en lis un quart, avant de le mettre de côté, à tort ou à raison, me disant oui, d’accord, mais la vie est trop courte pour lire ça.