Plus de force, rien. 599 mots. Il fait une chaleur épouvantable. Traverser Paris jusqu’à la rue de l’école polytechnique, c’est un calvaire tout moite. En plus en quatre lignes distinctes : je ne pense jamais à prendre le bus. Ce matin appris que Matthieu, qui devait lire ce soir à L’autre livre avec Dominique Dussidour et Jean-Pierre Suaudeau, ne pourra pas. Je vais chercher un texte à lui à lire sans lui. Ce sera « Tarkos ». Et dire que je n’ai même jamais lu Tarkos ! Ce n’est pas (...)