Je crois assez aux cycles. Les mauvais cycles, les bons. Mais je terminerai ce livre, La trilogie Sebastian Dun dont fatalement il ne restera dans ce journal qu’une seule phrase. Une demi-ligne. C’est tout ce que ça m’inspire ? C’est une littérature étrange, entre certaines nouvelles un peu mineures de Bolaño et Roberto Arlt (Les sept fous, c’est un souvenir de lecture manquée, je n’en ai rien retenu, rien ; Le jouet cassé en revanche, c’était superbe). D’autres livres lus récemment mais (...)