Tout se recharge de nos jours. Ton ordi. Ton portable. Ton MP3 si ça existe encore. Ta montre. Le phare de ton vélo pour quand tu roules la nuit. L’estime de toi après une semaine de travail réussie. La croyance que ce que t’écris doit être écrit, que ça fonctionne, que l’on progresse après chaque heure, chaque session. L’angoisse car tout cela est si fragile, tu sais. Couru 8km90, 50 minutes, sur le Repeating piano history (et d’autres trucs encore). Peu de chiens, c’est souvent comme ça (...)