Akira Kosemura



  • 011117

    2 décembre 2017

    Ma mère m’écrit : Aujourd’hui est un jour férié, ne travaille pas. Certaines pâtes, tu les manges dans une assiette creuse. À cause de l’obsolescence programmée j’en suis réduit à réinitialiser le téléphone sur ses réglages d’usine (c’est une idée de T.). Ça fonctionne. J’écris une phrase étrange. Dans ma tête ça voulait dire quelque chose. Il y a des trucs encourageants. Des micro trucs encourageants au milieu d’un océan de déception. Un de mes rares plaisirs c’est regarder Dragon Ball, que veux-tu que je te dise. Une autre idée de T., écrire réellement quelque chose à partir du procès Pistorius (et pas simplement m’en servir pour une demi-page dans Eff), pourquoi pas. Il y aurait de la matière. Ce serait froid et simple. Peut-être recoupé de trucs divers liés à la pop culture, ou à la domination masculine. Mais un truc froid, oui, sans intrigue ni personnages. Couru 35min40, 6mk5, sur le Natalon, et sous 14°, en direction du soleil qui se couche. Eff, c’est beaucoup plus doux que les jours précédents. Peut-être c’est dû à Akira Kosemura ? C’est mieux. J’ai l’impression d’écrire et d’avancer, plus de remplir. Mais je m’arrête quand même à 548 mots. Dune Messiah : People aren’t concerned with love ; it’s too disordered. They prefer despotism.

  • 040218

    5 mars 2018

    750 mots pour Eff sur Akira Kosemura. Est-ce que c’est mieux ? Je sais pas. Ce sera plus atténué qu’hier. Moins tendu. Mais j’ai toujours des lames de froid qui me cisaille la tête (je me demande si c’est lié au temps qu’il fait ; en plein mois d’août est-ce que le froid sera chaud ?). Entamé le Morphine(s) 05, qui ne suit pas la chronologie du site. Et bien sûr que c’est mauvais.