Or Hans avait, depuis belle lurette, jeté son dévolu sur ce Pribislav : il l’avait élu dans cette cour au grouillement à la fois connu et inconnu, il s’intéressait à lui, le suivait des yeux – faut-il dire qu’il l’admirait ? En tout état de cause, il le considérait avec un intérêt particulier et, allant au lycée, se faisait une joie d’observer ses rapports avec ses camarades, de le voir parler et rire, de distinguer de loin sa voix agréablement éraillée, voilée, presque rauque. Certes, (...)