On n’est jamais qu’une potée de viscères cuisinés à la diable, au gré des circonstances. La cervelle : un viscère, et le cœur, et les tripes. Tout ce qui fait mal, qui s’ébroue en giclées de sécrétions. Rien d’autre : une chimie d’organes dans la cornue des mots.
Qu’on est mal dans son corps quand c’est la première fois qu’on le porte ou bien qu’on marche avec.
L’alcool manque de rondeur, proche du tord-boyaux. Tu l’as versé dans la tasse vide encore tiède, pensant l’améliorer, mais il (...)