Prenons un texte X composés de Y phrases, qu’on décompose en autant de tronçons. Chaque phrase comprend Z syllabes, qu’on indique sous forme de métadonnée (en plus de, mettons, des informations sur la phrase qui peuvent aller du nombre de signes aux personnages concernés, si c’est un roman, ou aux rimes si c’est un poème en vers rimés, au nombre de mots si c’est pertinent, mais tout ça est semble-t-il secondaire, ce qui compte ce sont les temps, donc les syllabes). Chaque phrase est (...)