Si je rechigne à monter à mon bureau ce matin c’est par crainte d’y découvrir Poulpir morte. Ce n’est pas le cas. Mais depuis mon retour hier au soir elle reste prostrée dans un coin, avec des difficultés à se mouvoir, parfois même tombe-t-elle. Un peu les mêmes symptômes que Tartelette il y a quelques mois, à la différence près que c’est arrivé du jour au lendemain, quand pour Tartelette ç’avait été progressif, de mois en mois. H. n’est pas là. Je n’ai pas de voiture. Pour une fois, je (...)