Toute la tension du désespoir irriguant Shingeki no Kyojin se trouve dans cette phrase de Maeterlinck : Le bonheur des termites, c’est d’avoir eu à lutter contre un ennemi implacable, aussi intelligent, plus fort, mieux armé qu’eux. C’est un dilemme narratif. En tant qu’espèce, nous n’avons plus d’ennemis. Alors nous sommes l’ennemi. Quelqu’un me tire de mes pensées : on frappe à la porte exactement comme, enfants, les copains du quartier frappaient à la porte alors que nous avions tous (...)