Me voilà à écrire dans un mail après les amours inter-espèces et robotiques, l’anthropophagie végétale. J’ai perdu un kilo en moins d’une semaine, je reviens quasiment à la case départ. Ce corps s’use et m’use moi. Après en avoir regagné, je perds de nouveau des fallaouères. Qui sait mon poids est-il indexé sur ma popularité sur les réseaux (ou vice versa) ? J’ai Offenbach dans la tête et ça ne me fait pas rire 1. Si quelqu’un s’amusait (mais pas moi, pitié) à faire un mash-up de textes de (...)