La quatrième de couverture dit qu’à travers Mina, Yoko Ogawa poursuit un cycle de tendresse et d’initiation commencé avec La formule préférée du professeur, son livre précédent. Je veux bien la croire.
Mina se rend sur le chemin de l’école, sur le dos de Pochinko, l’hippopotame nain. Mina prend des crises d’asthme, se soigne au Fressy et aux bains de lumière, dans la salle de bain spéciale qui lui est dédiée. Elle se passionne pour le volley, les étoiles. Les boites d’allumettes elle les (...)