Au fond, je sais très bien ce qu’il faudrait que je fasse : renommer Basalte Basalte (Basalte ne s’appelle Basalte que dans le journal, le titre que je lui ai choisi, bien que comportant le mot basalte, n’est pas Basalte, sans doute parce que Basalte est déjà pris, mais enfin qui s’en soucie ?) et sabrer dans le texte une bonne centaine de pages. Seulement voilà. Si ne serait-ce qu’un éditeur à qui j’ai envoyé le manuscrit m’avait répondu, quelle que soit par ailleurs la réponse, j’aurais (...)