Sans mauvais jeu de mots (ou peut-être un peu).
Coup de tête troisième jet était raté pour beaucoup de raisons, parmi elles une seule plus importante que les autres : la linéarité du récit. C’était une des bases de l’idée de départ. Il fallait suivre le parcours de C.D. sans jamais le lâcher. L’ellipse était inconcevable. Il fallait rester dans sa tête, dans son corps, dans ses pas. Je ne le crois plus désormais. Au contraire.
Parce que comprendre le mécanisme de la douleur est une (...)