Dans les trains, sur le bord des trottoirs qu’on traverse ou qu’on fuit, dans les trains encore, sur les quais des fois, entre tous ces trucs, je me dis : le nombre de croquis potentiels que je rate, juste comme ça, en tournant la tête à l’opposé du point fuite écran où il faudrait voir. En échange de tous ces cadavres en absence, j’en propose quatre, ceux qui existent vraiment, ceux qu’on rattrape et retient sur fond (par association d’idées) d’African night flight :
il : crâne (...)