Au moment de clore les pages des deux premières parties de Marelle, « De l’autre côté » et « De ce côté-ci », et avant de passer au labyrinthe « De tous les côtés », je reviens en arrière avant l’heure sur ce passage anodin de la première partie. Nous sommes bien de l’autre côté, c’est à dire à Paris, dans un appartement aux lumières tamisées, à cause de Rocamadour (le petit), à essayer de dénouer une conversation au ton complètement anodin, mais délicieusement composée (l’art des (...)