Et la solitude, là-dedans ? B. est pleinement seul. Son isolement n’induit aucun contact, ni gêne ni frottements, ni difficultés de croisement ou de décroisement de paroles, d’yeux ou de jambes, ni regards parasites et ni conversations fortuites dont on n’aurait que faire parce que reposant sur des malveillances et des malentendus. Face à lui, c’est toujours la même personne que l’on retrouve devant soi. Quand on est seul, mais encore choisi, recruté, employé par un patron, nommé encore (...)