Paris, 24 juin 2011
Je finis par trouver la Baleine de Paul Gadenne et c’est 38 pages, 7€. Je pourrais poursuivre, dans ma tête donc ici, le projet fictif de cartographie de la misère ambiante. Je retrouve H. quelque part dans l’Octobre ou bien lui me retrouve. Il y a d’abord ce type croisé tous les matins, même tunnel, même figure, qui me demande cinquante centimes, depuis peu un euro, tout augmente, mais que moi tous les matins j’ignore. Celui qui avec soin choisit le bon carton sous l’oeil des (...)