Il suffirait d’enfermer la douleur dans des et de l’appeler ailleurs, par exemple dans le passé. Mais je retrouve rien de ces schémas de pensée révolutionnaires au réveil. Un sale brouillard devant les yeux que la chimie peine à faire fondre. Fatigue fatigue. Une série de tâches, parfois rébarbatives, mais enfin prises à bras le corps, et arrêter de les remettre : à demain, à plus tard, à à à. Deuxième épisode d’une histoire du vertige par Camille de Toledo, à distance et dans le temps. (...)