Perdu la moitié de la journée à attendre ce livreur coincé sur le périf et ses six colis de livres. Le reste dans les cartons et les caisses en plastique à préparer le marché qui commence donc demain. Temps apocalyptique toutes les X minutes. Ailleurs, du soleil en pluie fine. À la Poste encore : quelqu’un hurlant qu’il n’a pas pu retirer d’argent pendant trois jours et qui attend que la police vienne le cueillir. Il invective les gens, par exemple cet homme qu’il a traité de connard, et (...)