On se réveille donc dans les cendres d’une cathédrale qui a fini de brûler mais qui n’est pas détruite. Hier soir, les effets de l’incendie via le prisme des réseaux sociaux et c’est comme d’habitude en réalité : d’abord une émotion assez spontanée, et qui disait sans doute quelque chose de notre rapport à la ville, à notre patrimoine, peut-être aussi à une angoisse liée à une disparition de notre propre sol, puis, quelques heures plus tard à peine, patatra, on est retombé en nous-mêmes et (...)