Dans la tête Don’t go down, tous premiers mots : « I met a girl, snowball in hell » . Je les récite, je l’ai vécu, mais précisément à l’envers.
Comme lire un nouveau Fred Vargas (car c’est vrai) et sans arrêt se dire, à chaque apparition d’un nouveau personnage : « je suis sûr que c’est lui » . Ce n’est jamais celui dont on est sûr. Et comme on a passé son temps à soupçonner tout le monde, une fois le nom du mec finalement dévoilé, se dire : « je le savais » . Car, oui, je le savais. Et (...)