je fais que lire & même quand le vent tombe tous les regards serrés de l’openspace je fais que lire jusqu’à son paroxysme > les lettres imaginaires
je les immortalise & je sors l’œil celui portable capable d’immortaliser & puis j’immortalise les yeux collés au texte qu’il soit papier qu’il soit pixel je veux garder l’image la trace de tous mes doigts sur eux
j’avais déjà fait ça via 17h34 tracer le fil de mes lectures à une heure fixe & c’est pareil mais à l’échelle (...)