17 juillet 2011, entre Y. et Ithaque (42)
« Never know whose thoughts you’re chewing », écrit Joyce dans Ulysse et je termine Ulysse. Une fois tombés les derniers mots (Yes) trois autres suivent. Comme souvent, je suis pas là quand l’oeil s’amarre à la dernière page, même s’il n’y a plus de page : je lis sur la Sony. Je ne sais que ce Yes que je savais d’avance et que tout le monde connaît. Avant-hier l’autre Ulysse a massacré tout le monde, fait nettoyer le sang par les femmes après la (...)