Les fantômes sont réels. Et ce ne sont pas toujours ceux qu’on appelle qui viennent. Rue Michelet, c’est toujours le même bouquiniste qu’à l’époque de la fac où je lui achetais ses vieux dictionnaires de médecine, dont par ailleurs je n’ai rien fait, si ce n’est les stocker quelques années avant de les confier à des boîtes à livres lorsque nous avons quitté l’appartement de la rue T. Chez cet autre bouquiniste qu’il y a au-dessus d’Anatole France, la littérature est à prix barré (...)