Quand je disais que je m’enfonçais petit à petit dans les charniers fictifs. Passage de V. aux accents terriblement sauvages d’un colonialisme (invasion de la Namibie au début du siècle) savamment administré. Version traduite puis originale dans la foulée. Difficile de couper net, le texte est dense. Et d’une percussion tranchée parfois préoccupante : le deuxième paragraphe comme clair-obscur d’un massacre organisé. Parfois s’en vouloir de s’extasier sur la beauté de la langue, mais bon. (...)