Beaucoup plus de temps laissé ouvert à la veille, à la lecture, à la respiration. J’avais un temps prévu ne rien écrire. À un moment très précis il y a Nils Frahm en fond sur la chaîne, un appel en cours au portable dans le creux de l’épaule et, par dessus, la musique du fixe qui sonne (c’est Bach mais en midi) puis le son d’un message s’écoulant à voix haute, la voix tout venant au haut parleur. Je dis à H. c’est un message. Parlait avec les mains. Je ne sais pas pourquoi il se met (...)