D’où vient à l’homme cette faim si grande des aliments défendus ? Ô mortels ! je vous en conjure, renoncez à ces festins barbares. Écoutez et retenez mes avertissements : lorsque vous mangez la chair de vos bœufs égorgés, sachez et souvenez-vous que vous mangez vos cultivateurs.
Ovide, Les métamorphoses, traduction de G.T. Villenave.
Kaboom1 & 2
Tout ce que je fous sur le dos flotte. H. me dit OR : je croyais que t’avais trouvé ça génial, ta chronique est très sage. J’ai trouvé (...)