Commencé mercredi Fuck America d’Edgar Hilsenrath, recommandé à l’époque par X. et acheté en sa compagnie d’ailleurs au dernier salon du livre. À peine cent pages pas plus et c’est le genre de livre qui me fait dire (comme Spanbauer ou Fresán avant lui) que j’ai tout faux, n’ai rien compris, et ferai mieux d’écrire comme lui, lire lui, être lui. D’ailleurs les relectures Coup de tête qui ont suivi ont marqué l’impact, ce qui me gêne, car je crains toute forme d’influence plaquée comme ça, (...)