Et puis L’amour à mort (1984), sur l’un de ces DVD basse def où tous les noirs crépitent. Et je ne sais pas ce qui m’étonne ou me cogne le plus : que l’on ait l’impression, durant toute la première moitié du film, d’assister à une compilation de chutes coupées, tombées d’un autre film, complètement étranger à celui-ci, assemblées pour sauver quelques prises ou les meubles (je me souviens de la maigre partie Sci-Fi de 2046 et du fantôme de Maggie Cheung) ou que les voix des deux hommes (...)