Les cadavres tendent bientôt à se regrouper en tas, en meutes. Ils se font de petits conciliabules d’odeurs dans les recoins et les salons des appartements qui défilent maintenant dans le défoncement invariable de leur porte. Bolt se convainc du cul-de-sac, pas de doute, et même au fond du corridor s’entassent effectivement des sacs et, si l’on veut, des culs. Ce sont ceux de combattants abattus dans le dos, tombés sur le ventre, non guère retournés pour identification. Les mouches ont (...)