Des rêves désagréables. Il y a des crocodiles ou des alligators entre les interlignes et dans les marges : il faut retenir son souffle pour ne pas être mordu par leurs gueules de rasoir (on m’informe sur les réseaux immatériels de la marche à suivre, de comment faire le mort). Plus tard, dans d’autres contrées, là où les têtes sont mises dans des draps blancs pour la chaleur, on m’explique que j’ai besoin d’un chien si je tiens réellement à traverser les plaines contaminées.
La (...)