Réveil : un quatuor à cordes (un italien né en 82), puis sous terre un trio, une version balcanique de Strangers in the night.
H. m’attend sous le taf. On se pose au Café de la paix (quelqu’un derrière le dit à quelqu’un d’autre, pas français, lui dit en italique pour qu’il apprenne à dire : café de la paix) et je repense souvent à cette phrase de Hempel, celle qui dit, c’est dans Référence #388475848-5, celle qui dit : « En fait, c’était une version exotique d’un tea time, donc au lieu (...)