Le voilà le morceau de bravoure de ce livre, L’employé, L’oficinista, que Rodrigo Fresán rapproche, dans sa préface, de la phrase de Francis Scott Fitzgerald, cette phrase, elle dit : « Dans la nuit obscure de l’âme, il est toujours trois heures du matin ».
Trois heures du matin à toutes les horloges de la ville. Trois heures du matin dans les rues humides. Trois heures du matin sous les portiques où gisent les sans-abris. Trois heures du matin dans les stations de métro. Trois heures du (...)