Je me souviens très bien que Vivaldi me saoule quand j’ai quinze ans, que mon père le met par dessus la console (un match de foot en pixels saturés ou une histoire de monde qu’il faut qu’on sauve en respectant le temps de remplissage d’une jauge dite ATB). Aujourd’hui je l’écoute, sans PSX, pixel ou jauge, via Richard Galliano.
Tombé, par accident, dans ce livreweb, Contre, de Philippe de Jonckheere, en omettant (curieux) volontairement la première page. Je note une phrase : La (...)