La grande découverte du roman moderne est d’avoir éliminé l’homme du centre des choses. C’est un changement qualitatif qui transforme le roman - mais aussi la poésie - en texte, en simple texte d’où le sujet est retiré à mesure que les structures du pouvoir et les structures objectives du monde désagrègent l’individu et le réduisent à de simples pulsions.
Imre Kertész, Journal de galère, Actes Sud, traduction Natalia Zaremba-Huzvai et Charles Zaremba, P. 64
Je lis comme je lis comme je (...)