Les rêves n’ont jamais trouvé leur place sur Fuir. Successivement les ai stockés dans une rubrique dédiée (mais invisible aussi, c’était l’époque ou Fuir lui-même était en ligne mais inconnu de tous, donc terriblement seul et secret dans la fréquentation), sous un hashtag twitter, sur une page de la rubrique dite moelle, en haut de chaque entrée du journal ici-même. Ce que j’ai entrevu hier, durant la soirée de présentation du site Textopoly.org, c’est une diffusion des rêves par ce biais, (...)