Retour à la vie grise et suffocante. J’attends treize heures pour lire mon oxygène, le web parabolique réverbé autre part. Trakl traduit par Laurent Margantin.
A côté du moulin, des garçons allument un feu. Le frère du plus blême est flamme et il rit enfoui dans sa chevelure rousse ; ou bien c’est le lieu du crime, à côté duquel passe un chemin pierreux. Les épine-vinettes ont disparu, à longueur d’année ça rêve dans l’air de plomb sous les pins sylvestre ; peur, obscurité verte, le (...)