Dernière chance au dernier Arctic Monkeys ; ça ne prend toujours pas. Le précédent sous un nouvel angle. Le Nils Frahm, en revanche, c’est superbe. Rêvé la remise du prix de la SGDL avant de la vivre : non seulement le prix n’était pas attribué (il y avait encore un scrutin public) mais en plus ce n’était pas le bon livre. Un livre que je ne me souvenais pas avoir traduit. Ça arrive. Je veux dire, ça arrive dans les rêves. Là, dans la réalité, c’est tout autre. C’est, pour commencer. Pas (...)