Je me brosse les dents, je me lave le visage, les bras, le cou, les oreilles. Je descends au courrier tous les jours. Je me masturbe tous les jours. Je consacre une grande partie de la matinée à préparer les repas du reste de la journée. Je passe les heures mortes assis, à feuilleter des magazines. J’essaie, au cours des multiples occasions du café, de me convaincre que je suis amoureux, mais le manque de douceur — d’une douceur déterminée — m’indique le contraire. Parions je pense que je (...)