J’attends le 31 du mois comme si ce 31 là devait être le dernier 31 à jamais voir le jour dans la grille du Temps. Impression étrange. Peut-être car le 31 qui marque généralement la fin des vacances en ouvre pour moi le début. Non pas des vacances, ni même du chômage, mais bien un mois 0, type, qui demanderait qu’à s’éterniser in-dé-fi-ni-ment.
Hier vu N. Je lui explique oralement ce qu’il prenait pour une fiction écrite : je lui refais la chronologie, la même que je répète à droite à (...)