J’ai pris Atlas des reflets célestes pour un sous-Pavić. C’est plus complexe que ça. Je suis dedans. Un chapitre très court et particulièrement beau : il ne raconte rien que l’émoi de quelqu’un assis à côté d’une jeune fille dans un cinéma. Les notes décuplent ça. Sans les notes ce passage ne mesure que quelques lignes. Les notes sont écrites dans le même corps que le texte, ce qui d’abord surprend, ensuite on se prête à penser que les notes pèsent autant que le texte, et qu’à ce stade il (...)