C’est plus ou moins la fin du monde, on sait pas trop pourquoi. Il y a ceux qui l’acceptent, qui tentent de compiler leurs souvenirs sur des ordinateurs, et ceux qui ne l’acceptent pas et qui errent dans des corridors souterrains à la recherche de satellites à investir pour programmer une vie spatiale. Je fais partie des uns, je fais partie des autres. Avec les premiers à travailler sur des ordinateurs aux modules flash inopérants (ils tournent sous Windows 95), avec les autres sous le sol (...)